De nombreuses personnes craignent de mourir dans une guerre nucléaire. Compte tenu des événements mondiaux récents, c’est une préoccupation tout à fait raisonnable. La situation en Ukraine nous rappelle également que tout est possible en un rien de temps ! Dans ce contexte, nombreux sont ceux qui se demandent comment survivre en cas de catastrophe nucléaire ?
En effet, depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine, tous les pays se dirigent vers un armement de plus en plus important. Ajoutez à cela des traités défaillants, et la guerre nucléaire semble être maintenant une possibilité réelle. Il en va donc de même pour y survivre !
La dernière guerre et ses conséquences
Les armes nucléaires d’aujourd’hui sont des cauchemars dévastateurs, mais les gens peuvent survivre et survivent même lorsqu’ils sont proches du rayon de l’explosion de la bombe. Le Japonais Tsutomu Yamaguchi a survécu aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki et est décédé à l’âge de 93 ans. Yamaguchi n’était pas la seule personne à avoir survécu aux deux explosions, non plus, mais juste la plus célèbre. Les horribles bombardements américains ont tué plus de 200 000 personnes, mais environ 70% de la population de chaque ville a survécu. Beaucoup vivaient avec de graves complications liées au bombardement, mais ils vivaient.
Le temps pour survivre en cas de catastrophe nucléaire
Une explosion nucléaire se déroule en six étapes. Il y a un flash de lumière, une vague de chaleur, un dégagement de rayonnement nucléaire, une boule de feu, un souffle d’air et enfin les retombées radioactives.
Tout cela se produit très rapidement – en quelques secondes seulement – mais les systèmes d’alerte précoce modernes vous donneront probablement un petit temps pour réagir. En janvier 2018, par exemple, l’État d’Hawaï a averti les résidents qu’un missile balistique était en route. C’était une fausse alarme, mais les responsables de l’État ont estimé que, s’il s’agissait d’un véritable missile, le délai entre l’avertissement et l’impact aurait probablement été de 12 minutes.
Survivre en cas de catastrophe nucléaire dans la zone d’explosion
La zone de souffle d’une explosion nucléaire se divise en trois parties : la zone de dommages graves, modérés et légers. Si vous vous trouvez dans la zone de dommages graves, là où la boule de feu frappe, vos chances de survie sont très faibles. Cependant, si vous avez le temps de rejoindre un abri antiatomique, vos chances de survie augmentent de 95%.
En revanche, sur les bords de l’explosion, dans les zones de dommages modérés et légers, il y a encore plus de chances de survie. Votre premier instinct pourrait être de prendre la route au moment de l’annonce ? Stop ! Cela pourrait être une erreur mortelle. La seule est unique chose à faire est de se mettre à l’abri dans votre bunker.
Investir dans un bunker est donc toujours une bonne idée en ces temps incertains. Contactez-nous pour plus d’informations sur la façon de construire un bunker pour survivre.
La puissance dégagée…
L’abri dans un bâtiment est extrêmement important pour survivre à la prochaine étape d’une explosion: la vague de chaleur. Pour exemple, la puissance d’une ogive comme celle de la bombe Tsar délivrerait 50 mégatonnes. Une telle puissance, détruirait absolument tout dans un rayon de 35 à 50 km et la vague de chaleur se rependrait sur une distance d’environ 100 km. Cette explosion est si puissante, qu’à une distance de 100 km du point d’impacte, elle provoquerait encore des brûlures au troisième degré. Dans ces distances, seul un abri antiatomique peut vous sauver. Imaginer pouvoir se protéger dans un bâtiment est une hérésie !
Survivre après la chute de la bombe
Survivre à l’explosion initiale nécessite un peu de chance mais rester en sécurité après la détonation initiale nécessitera certainement beaucoup de patience.
L’explosion nucléaire va aspirer des milliers de tonnes de saleté et de débris, enduire cette saleté et ces débris des produits de fission créés pendant l’explosion, et après s’être stabilisée à des kilomètres dans les airs, les particules les plus lourdes descendront ensuite. Elles seront radioactives…
Environ 15 minutes après l’explosion initiale, ces retombées commenceront à se déplacer dans l’atmosphère et à se déposer sur le sol. Être à l’abri de ces retombées radioactive est ce qui vous sauvera dans un deuxième temps. Entrez dans votre abri antiatomique et restez-y en attendant de recevoir des nouvelles de l’extérieur à l’aide de votre radio.
La bonne nouvelle au sujet du rayonnement est qu’il se désintègre rapidement. Une heure après l’explosion, environ 50% des retombées auront déjà disparu. Elles auront ensuite diminué de 80% après 24 heures. Finalement, il sera temps de quitter votre abri antiatomique et de braver un nouveau monde.
Notre conclusion pour survivre en cas de catastrophe nucléaire
Être à l’intérieur d’un abri antiatomique lors d’une explosion nucléaire est votre seule chance de survie. C’est aussi le cas après explosion ! En effet, votre abri vous servira de refuge pendant un laps de temps qui pourrait être de plusieurs mois. Si l’arme atomique devait être utilisée dans un conflit généralisé, le monde d’après ne serait plus le même. Nous pouvons illustrer ce propos avec la citation suivante de Albert Einstein :
« Je ne sais pas comment on fera la Troisième Guerre mondiale, mais je sais que la quatrième se fera avec des bâtons et des pierres. »
Albert Einstein
Investir dans un abri antiatomique est donc votre seule chance de survie dans un monde post-emballement nucléaire. De plus, cet abri pourrait aussi vous protéger contre de nombreux autres risques à venir dans les années futures. Dans ce contexte, nos ingénieurs vous conseillent gratuitement lors d’une étude de construction. Profitez de nous solliciter pour obtenir un devis sans engagement !